SUR LES TRACES DES KALINAS

mardi 11 mai 2021

 Bien bonjou tout moun


Sa ka fè yonndé lanné man pa matjé ayen anlè sit-la men pa entjet man ka viré adan détwa jou


Pasé an bon lajounen


Bonjour à tous


Cela fait bien longtemps que je ne me suis pas connectée au site, pas d'inquiétude je reviens bientôt


Bonne journée 

mercredi 23 décembre 2009

de bonnes fêtes à tous

A tous ceux qui visitent mon blog, je vous souhaite de passer de bonnes fêtes de noël. ici à la Martinique Noël est une grande fête de partage et d'amour. La tradition veut que nous commençons à chanter noël après Toussaint et cela jusqu'au 25 décembre. comment cela se passe chez vous ? Les  premiers peuples savaient aussi faire la fête, dans d'autres circonstances bien sûr. Connaissez-vous certaines de ces fëtes ? Laissez vos infos dans la rubrique commentaire.

Merci

vendredi 18 décembre 2009

Etes-vous descendant de kalinago (caraïbe) ?

Si oui faites nous partager : avez vous des histoires  à nous raconter ? qu'en est-il de l'héritage que l'on vous a transmis ? Faites nous part dans la rubrique commentaire. 

Merci

jeudi 17 décembre 2009

L'habitat kalinago

Le village était composé d'un édifice central appelé taboui (carbet, mot Tupi-guarani introduit après par les français) entouré de constructions de moindre importance disposées en arc de cercle face à la mer. Dénommées mouina ces dernières appartenaient chacune à un couple marié ou à une des femmes d'un guerrier qui en avait plusieurs. La mouina était une construction plus petite que le carbet.
Le carbet était le centre de la vie masculine, lieu de travail artisanal, de repos, réfectoire des hommes, hall d'accueil de fête ou cérémonie, il était aussi une assemblée politique où se traitaient les affaires du village.
Véritable poumon social, culturel et politique du village, l'entrée y était en principe interdite aux femmes et aux enfants qui n'y pénétraient qu'à certaines occasions (fêtes, cérémonies, services ect.....)

Couvert de feuilles de palmiste ou de latanier, le carbet, de forme ovale ou rectangulaire, ne comportait ni plancher, ni murs, ni portes et fenêtres à l'origine (sur les photos il a subi quelques modifications par rapport au modèle premier). 100 à 120 hamacs pouvaient y être suspendus.
La mouina couverte aussi de feuilles de latanier était fermée sur les côtés, elle pouvait comporter plusieurs pièces.Une petite construction légère nommée bati (plus tard ajoupa, mot Tupi introduit par les français) servant de cuisine ou de dépôt pouvait être édifiée à ses côtés